"Les baladeuses du 82" :
Le but est de visiter un par un, tous les villages du Tarn et Garonne. (Y a du boulot !! 195 communes "cliquer ICI") sur une après midi ou sur une journée, une ou deux fois par mois. En commençant par les plus petits, les moins connus, les moins cités dans les brochures touristiques, ceux où on ne pense pas à s’arrêter...
(image et extrait du blog)
Le village actuel de Villemade a succédé, en 1144, à une ville romaine importante, située sur les deux rives du Tarn : elle avait 1 300 mètres de longueur et un demi-kilomètre de largeur moyenne. Le nom de cette ville, détruite en 407 par les Vandales, est resté inconnu ; des ruines romaines et le nom de Ville-Vieille par lequel on la désigne encore, attestent seulement l’existence de cette antique cité, dont l’emplacement appartint longtemps à l’Abbaye de Saint Théodard...
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Villebrumier se trouvait autrefois à l’extrémité occidentale de la province du Languedoc, au sein du Comté de Toulouse et donc de l’Occitanie. La commune appartient aujourd’hui à la région Midi-Pyrénées et au département de Tarn-et-Garonne. Elle s’étend sur une superficie de 1.138 ha, rive droite du Tarn, en limite de la Haute-Garonne...
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L’église est mentionnée dès le XIIIe siècle «Beata Maria Vinosa» mais les rares sources existantes sont muettes sur la période de son édification.
La Vinouze était jadis une paroisse à laquelle se rattachait la bastide du Bourguet.
Toponyme tiré du latin «vineus», il rappelle l’importance qu’a pris la culture de la vigne, dans nos contrées, sur les terres les moins fertiles...
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Dès 1219 la Paroisse de Verfeil comprise dans le bailliage de Najac, était une agglomération ou hameau dont il faut retenir le premier nom, VIRIDIFOLIO c’est à dire Verte Feuille. D’où l’origine de son blason 10 trèfles verts sur fond blanc.
La fondation de la Bastide de Verfeil a été effectuée par les bâtisseurs du XIIIe siècle. Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère de Saint Louis époux de Jeanne la fille unique du Comte de Toulouse Raymond VII, devint lui-même Comte de Toulouse en 1249...
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Verdun-sur-Garonne était autrefois un port, le premier entre Toulouse et Agen, ses remparts sont imposants et donnaient à l'époque directement sur le fleuve Garonne. On peut d’ailleurs dire que Verdun est né de la Garonne.
L'existence de son port, ou plutôt ses ports car il y en a eu au moins deux, est connue depuis le XIIe siècle..
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Jusqu’au XIIe siècle, le village était recouvert par un vaste marécage alimenté par les eaux de la Lupte et dont la traversée s’effectuait par la voie romaine reliant Cahors à Moissac.
En 1180, les moines de l’Ordre de Cluny édifièrent, le long de cette voie, l’église dédiée à Saint Julien comme étape de la « Via Podensis », le chemin de Saint Jacques de Compostelle...
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Dominant la vallée du Tarn au sud, et celle du Tescou au nord, la bastide de Varennes a été créée vers 1260 par le frère de Saint Louis, Alphonse de Poitiers héritier par sa femme du Comté de Toulouse.
Dès son origine et jusqu’à la Révolution, Varennes s’administre librement sous la forme d’un consulat régi par les us et coutumes de la communauté de Villemur...
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Le doyenné de Varen fut fondé par le comte Géraud d'Aurillac (855-918) qui y passa lorsqu'il alla rencontrer le comte Raymond de Toulouse (qui avait emprisonné son neveu), rencontre qui eut lieu sur les bords de l'Aveyron.
Vers 972, Garsinde, Comtesse de Toulouse fait un legs au doyenné...
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Un village, petit par sa taille mais grand par son Histoire
A l’éclairage de la thématique du déplacement de populations, des valeurs d’accueil et d’hospitalité venez observer comment le développement de l’activité chapelière au 19ème siècle a façonné l’architecture du village et comment la présence du Camp de Judes, ouvert en 1939 pour recevoir les réfugiés espagnols de la Retirada, a fait de Septfonds un haut lieu de mémoire des conflits de la Seconde Guerre mondiale...
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